J’aime bien le Grand Saint.
Ce grand vieux barbu qui se balade avec son âne et passe dans tous les foyers afin de délivrer bonbons et cadeaux.
« Peace Man, j’me la joue à la cool »
Celui qui quitte les maisons en laissant négligemment la carotte posée sur l’assiette mais vide toute la bouteille d’eau-de-vie.
« La prochaine fois tu mettras un plus grand verre, petit »
Celui toujours flanqué de son vilain acolyte noir qui fouette les méchants enfants.
« Nous ne sommes pas racistes du tout, c’est parce qu’il est couvert de suie »
Celui qui sait tout, qui voit si tu as été gentil ou pas.
« Je te vois, Barbara »
Celui qui n’a pas trouvé de meilleure idée que de se glisser dans la cheminée alors qu’on lui laisse la porte ouverte.
« Mon cul rentre là-dedans tranquille »
Celui qui supprime l’avion de Barbie, le ranch Playmobil et la console Wii de ta liste pour t’offrir un livre éducatif sur le squelette humain.
» Bien fait pour vous, bande de sales djounes »
Celui qui ne fait pas peur du tout.
« Ton dessin est très moche, Jean-François »
Quand Axelle était petite, le Grand-Saint était un sujet qui revenait souvent sur le tapis. Alors voilà, aujourd’hui, je vous propose trois histoires de Saint-Nicolas qui datent de cette époque-là.
Quelques questions métaphysiques
Ruse
Quand on commence à douter…
Finalement , il existe ou pas Saint-Nicolas ? 🙂
Je crois que oui. Mais il ne m’a rien apporté
Oh misère ! Il est vraiment gonflé celui-là … !!
C’est le Grand Saint de la photo 7 le plus flippant… As-tu vu qu’il avait les doigts de la main gauche coupés ?
Tu crois qu’ils sont dans son panier ou cachés dans les poches des enfants ???
Je n’avais pas remarqué ce détail sordide. A mon avis il les met dans les friandises, ça le fait bien