« Rita se rappelle soudain ce que disait Robbie : quand un arbre géant s’écrase dans un bois, l’air et la lumière s’engouffrent dans cet espace, des graines dormantes s’épanouissent et une vie nouvelle tente sa chance, poussant tant bien que mal. »

Je pense que je ne serais pas forcément allée vers ce roman, mais Caro me l’a tendu et j’ai pu lire sur la quatrième de couverture : Angleterre, manoir perdu au milieu d’une forêt, alors j’ai dit : « Fais péter ». J’ai bien fait ! C’est un livre plaisant, avec un style étonnant, regorgeant de métaphores toutes plus justes les unes que les autres, une ambiance sylvestre omniprésente et un mystère de plus en plus complexe. Étonnamment, je plussoie.