Cela faisait bien deux ans que je n’avais pas lu un bon polar bien dark made in « un pays sans chaleur et sans lumière ». J’avais entre autres lu la série « Dark secrets » de Hans Rosenfeldt, que je recommande mais dont les histoires, à côté de celles sorties des cerveaux torturés de Lars Kepler (association mari et femme) semblent sorties de celui d’un enfant de choeur.
Lars Kepler, c’est bien connu, ne fait pas dans la dentelle, et ce dernier tome n’échappe nullement à la règle. Who putain que c’est glauque ! C’est quoi, mon problème, à lire des trucs pareils et, en plus, à ne pas savoir le lâcher ? Je dois être une grande malade mentale, je ne vois que ça…

