Cette fois, nous y sommes. Le décompte avant l’Islande est enclenché.
Nous y partons durant 12 jours pour peindre, avec les copines de l’Académie.
Il faut faire ses valises. Quelle partie de plaisir !
D’abord, nous avons dû faire quelques emplettes chez Decathlon.
Nous ce faire, nous avons profité des soldes estivales.
Comme le dit si bien leur publicité : « Decathlon, à fond les formes ! », j’ai pu trouver de quoi me vêtir.
Ce jour-là, il faisait caniculaire et le thermomètre indiquait 40 degrés, mais nous avons testé des manteaux, des bonnets et des gants sous le regard médusé des autres clients qui choisissaient bikinis et crème solaire.
Une fois de vêtements parées, ce n’est pas tout. Il faut faire les valises.
- Découper des rouleaux de toile.
- Compter ses culottes.
- Emporter gros pulls, bonnets, moufles et écharpes en suffisance.
- Croiser les doigts pour ne pas se faire confisquer tous les tubes et petits pots remplis de poudres colorées que l’on doit transporter.
- Éjecter Petite-Beauté hors de la valise.
- Trouver de la place pour caser tous les polars et romans glauques.
(A ce propos, je crois que Mère n’a pas trop bien saisi le concept de « romans que je lui ramène pour lire en vacances »).
Mais aussi, Adèle et moi devrons être sur nos gardes, parce que nous avons la fâcheuse habitude de nous surnommer mutuellement Micheline.